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 Le monde devient fou. × jefferson.

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MessageSujet: Le monde devient fou. × jefferson.   Le monde devient fou. ×  jefferson. EmptyMar 22 Oct - 10:12

Jefferson Madson


Age: Boh...Trop vieux? ★ Lieu de naissance: Wonderland. ★ Date de naissance: écrire ici. ★ Orientation sexuelle: Bisexuel. ★ Situation civile: Célibataire. ★ Situation professionnelle: écrire ici. ★ Conte: Alice au Pays des Merveilles. ★ Personnage de conte: Le Chapelier Fou. ★ Groupe: STORYBROOKE. ★ Caractère: citez ici les qualités et les défauts du personnage. ★ Avatar: Sebastian Stan.


Once Upon A Time..


Il y a longtemps, j’étais un garçon insouciant, plein de vie, prêt à plaisanter à la moindre occasion. Avec mon chapeau magique, je partais souvent à l’aventure, dans d’autres mondes comme Wonderland notamment. En grandissant ce caractère ne m’a pas abandonné. J’ai rapidement épousé une jolie paysanne, lui ai fait un enfant sans réfléchir et malgré mon rôle de père continuait de partir en vadrouille dans d’autres pays et à me rire de tout.

Un beau jour, alors que je rentrais d’une de mes escapades habituelles, on m’annonça que ma charmante épouse, Alicia, était morte peu de temps après mon départ. Première fracture. Je me retrouvais propulsé dans la dure réalité du monde des adultes. Je compris que tous les êtres, même ceux qui m’étaient chers, mourraient un jour. Je me retrouvais à devoir élever une petite fille, ma fille, Grace, sans savoir vraiment comment m’y prendre. C’est sans doute à ce moment que je compris le devoir que j’avais envers ce petit être. L’aimer, la chérir, respecter le souvenir de sa mère, la protéger. C’était ma fille et j’étais son père. J’acceptais enfin la « mission » qui me revenait de droit.

Bien entendu, la métamorphose ne se fit pas en un jour, mais je finis par devenir un bon père, ou tout du moins je voulais m’en persuader. Avec le temps, nous finîmes par nous apprivoiser. Les voisins me venaient en aide en échange de services ou de cadeaux. C’est que je continuais mes voyages pour subvenir à nos besoins, mais aussi parce que j’avais toujours ce besoin fou de m’échapper quelques temps vers l’inconnu. Grace et moi n’en étions que plus heureux de nous retrouver après mes expéditions.

La voisine qui s’occupait jusque là de ma Grace se fit vieille, tandis que ma fille me réclamait auprès d’elle de plus en plus. Deuxième fracture. Après plusieurs jours de délibération à me torturer l’esprit, choisir entre accepter entièrement mes responsabilités ou continuer à fuir et à savourer un peu de liberté. Je finis par trancher et émasculer ma liberté. Je resterais à présent à la maison. Finit de jouer les explorateurs. Je choisis de rester à la maison, dans mon village pour y gagner ma vie dignement, avec ma fille. Notre niveau de vie diminua tout naturellement. Mais l’amour de son enfant n’a pas de prix, n’est-ce pas ?

Nous vivions donc modestement jusqu’au jour où je reçus la visite d’une vieille « amie » : sa majesté Regina Mills. Une puissante magicienne que j’avais rencontrée alors qu’elle commençait seulement à s’initier à la magie auprès d’un de mes anciens et peu recommandables associés : Rumpelstinskin. Elle avait besoin de moi pour un voyage vers Wonderland contre beaucoup d’or. Soucieux de respecter ma promesse auprès de mon enfant de ne jamais plus la quitter, je refusais d’abord. Curieusement, la sombre reine n’insista pas davantage. Mais alors que nous nous promenions sur le marché du coin, Grace craqua sur un imposant lapin en peluche. Je lui offrais peu de jouet. Elle n’en réclamait d’ailleurs jamais. C’était la première fois que je la voyais désirer quelque chose au point de me regarder dans les yeux avec cette moue adorable dans un autre but que celui de m’inciter à jouer avec elle à boire le thé. Je cédais, naturellement et demandait son prix à la vieille marchande. Hors de nos moyens. Pas de prix d’ami. Nous rentrions alors bredouille. Grace, un peu déçue. Moi, dévasté devant la dure réalité. Je n’avais plus les moyens de subvenir à tous les besoins de ma famille. Troisième fracture.

J’acceptais alors de partir en expédition avec Regina. À Wonderland nous découvrîmes un paysage de folie qui avait fini par me lasser. J’avais grandi, vieilli depuis le temps. Nous introduisîmes dans les jardins de la Reine de Cœur, une nouvelle reine qui avait récemment pris le contrôle du pays et le gouvernait d’une main de fer. Avec mon aide, l’Evil Queen s’empara d’un des coffrets du mausolée royal situé au cœur du labyrinthe. Avec les pouvoirs de ma partenaire, l’entreprise s’avéra chose facile. Mission accomplie ! Mais alors que nous allions quitter cette contrée de folie, Regina s’arrêta, ouvrit la boîte et en libéra un vieil homme qu’elle désigna comme son père. Avec l’aide d’un de ses maléfices, elle me retint prisonnier, les pieds enfoncés dans la terre, et s’enfuit de ce maudit pays. J’étais définitivement perdu. Ne jamais être plus ou moins nombreux lorsqu’on entre le début et la fin du voyage. C’était là la règle d’or ! Nous étions deux à enter, ils sont deux à sortir. Ils sont partis. Je suis resté. Les gardes de cœur m’ont très vite rattrapé pour m’amener devant leur souveraine, répondre de mes « crimes. »

Devant la Reine de Cœur, je subis un procès éclair dont elle avait le secret. Avant que j’aie le temps d’aligner plus de cinq mots, sa main s’était levée tandis qu’elle ordonnait qu’on me coupe la tête. Oh ma pauvre petite Grace, si tu pouvais me pardonner ! Le bourreau leva alors sa hache et l’abattit violemment sur ma nuque sans crier garde…

Avoir la tête tranchée fut sans doute la plus grande fracture que je connus dans mon existence. Par je ne sais quel prodige, on ne mourrait pas par décapitation à Wonderland. On me recousit alors pour ensuite faire de moi l’esclave de la souveraine. Je fus enfermé dans un donjon où je dus jour après jour lui confectionner des chapeaux dans l’espoir qu’un jour je réussisse l’exploit d’en créer un identique à celui qui m’avait permis pendant de longues années à voyager entre les mondes. Devant tant d’ouvrage et mes échecs à réputation, je crois que j’en perdis la tête. Je crois que l’enfermement et les émanations de mercure, fréquemment utilisé dans l’art de la chapellerie n’arrangea pas mon cas. Ces vapeurs toxiques dans un espace clos me donnèrent des hallucinations et me firent peu à peu perdre pied avec la réalité …

Elle est arrivée un jour dans une cellule proche de celle où je pouvais dormir mais où je passais mon temps à délirer. C’était une jeune femme blonde, perdue dans sa robe bleue. Bien que je n’étais pas un interlocuteur des plus délicats vu mon état, elle me tint la conversation chaque soir, à chaque bref instant où nous avions l’occasion de nous croiser. Au fur et à mesure, elle me ramena plus proche de la réalité. Le mercure aggravait ma santé et mon esprit, mais cette fille chassait la folie de ma tête. « Alice » c’était son prénom. Seul pansement dans mon monde de fractures.

Nous réussîmes une nuit, par le plus grand des miracles, à nous enfuir du château. Nous courûmes en toute hâte, nous cachant lorsque c’était nécessaire, jusqu’à nous trouver un coin tranquille où l’on ne pourrait pas nous retrouver dans l’immédiat. Une vieille cabane perdue au milieu des bois que nous investîmes et transformèrent peu à peu en charmante maisonnette. Nous y buvions le thé, en souvenir aux moments que je passais avec Grace. J’y tenais particulièrement. Sans doute pas la meilleure des vies, mais au moins le temps et l’absence passaient mieux avec une amie.

Un beau jour, je ne revins pas du marché. Encore une fois j’abandonnais malgré moi ceux que j’aimais. J’avais aperçu un lapin blanc et je ne sais pourquoi je m’étais alors mis en tête de le suivre. Il était vêtu d’un gilet bleu et avait une montre à gousset. C’était trop fort ! Les animaux parlaient et s’habillaient parfois à Wonderland, mais c’est qu’en réalité ma soif d’aventure s’était réveillée. Il m’entraîna alors dans un dédale de souterrains. Je m’y perdis et en cherchant la sortie, je me retrouvais à l’air libre dans une contrée que je connaissais. J’étais de retour chez moi. Sur le sol couvert de mousse, un petit carton d’invitation comme on en faisait pour les anniversaires des petits enfants. Il y était inscrit dans une écriture impeccable : « Joyeux Non-Anniversaire ! Viens jouer ! » Je n’eus pas le temps de davantage réfléchir. Un nuage vert dévora tout autour de moi et je disparus une nouvelle fois, au cœur de ces cendres verdâtres, serrant de toutes mes forces la petite carte.

Quand je rouvris les yeux, j’étais dans une imposante demeure à l’orée de la forêt. Le monde avait changé. Les gens aussi. Toutes les contrées sauvages que j’avais aimé explorer étaient devenues un tas de bâtiment bien organisé et recouvert d’une matière grise qu’on appelait, je l’appris ensuite, « béton » ou « bitume. » J’avais toujours l’invitation dans les mains. Les habitants de cette ville connue sous le nom de « Storybrooke » avaient oublié qui ils étaient. Bizarrement, ce n’était pas mon cas. Ma fille m’avait oublié et vivait avec d’autres personnes qu’elle appelait « Papa » et « Maman. » Dépité, je regagnais mon manoir pour y ressasser chaque jour ma solitude et mon amère sérénité. Je vivais là, la pire de mes fractures.
Un soir, l’espoir revint. Je le vis. L’horloge se remit en marche. Une autre blonde venait d’entrer dans ma vie. Emma Swan. Elle avait le pouvoir de rapporter la magie. J’en étais intimement convaincu. Je la pris alors un jour en otage pour l’y contraindre. Sans succès. La belle ne croyait pas. De mon audacieuse entreprise je ne gagnais pour finir que la désagréable chance de me retrouver défenestré. J’aurais tant aimé qu’elle me refasse un chapeau magique pour que je m’enfuis avec Grace à Wonderland, retrouver Alice. Nous aurions pu être heureux après tout ! Ce fut Regina qui m’offrit la possibilité de récupérer mon chapeau. Elle me proposa un marché : l’oubli pour vivre avec ma fille sans souffrir du passé en échange de quoi je récupérais pour elle un objet. Malgré le peu de magie qui restait dans ce nouveau monde, nous parvînmes à faire venir à Storybrooke la fameuse pomme empoisonnée qui avait servi à couper le souffle de Blanche-Neige et devrait suffire à anéantir l’espoir incarné par Emma. Je ne sais pas ce qui se passa ensuite, mais ce que je peux dire c’est que ça a foiré ! Madame le Maire était furieuse et refusa d’honorer notre accord. J’ai donc libéré Belle, l’amante de Rupelstinskin, pour titiller la fureur de mon vieil « ami » et qu’il se venge pour moi de la sorcière.

C’est confus dans mon esprit. Le sort s’est rompu, mais un autre nuage, violet cette fois-ci a aussi ramené la magie à Storybrooke. Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi nous sommes toujours ici. La belle affaire ! J’ai récupéré mon chapeau. Un étrange individu, « le Passeur, » que je ne saurais décrire me l’a ramené. Regina, sa mère Cora et toute la clique menacent ma famille ? Je vais les mettre hors d’état de nuire et me venger une bonne fois pour toute ! Après, si on me pardonne les horribles choses que je vais devoir faire, je vivrai heureux avec ma Grace chérie. Direction Wonderland pour retrouver mes anciens camarades et nous débarrasser ensembles de tous ces salopards de magiciens ! Nous aurons NOTRE fin heureuse !

Code:
[b]SEBASTIAN STAN[/b] [color=#993333]∞[/color] jefferson madson


Derrière l'écran..

Moi c'est Carmen, mais je porte le pseudo de Systran ou King Boo sur Internet. J'ai un âge qui se situe dans les environs de la dizaine et vingtaine (toute aussi mystérieuse que Pan 8)) comment je suis arrivée ? Je suis la fondatrice, voyons ! Rolling Eyes comment je le trouve ? Supeeeeerbe, merci ma Susan hihi la phrase  magique n'est tout autre que Validée par moi-même (a)



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