Age: 28 ans ★ Lieu de naissance: Neverland ★ Date de naissance: Indeterminée. ★ Orientation sexuelle: hétéro. ★ Situation civile: Célibataire. ★ Situation professionnelle: Sheriff ★ Conte: Blanche neige. ★ Personnage de conte: The Hope, fille de Snow et Charming★ Groupe: Neverland. ★ Caractère: Généreuse,Courageuse,Aimante,Indépendante,Joyeuse. Autoritaire,Entêtée,Fonce tête la premiere ★ Avatar: Jennifer Morrison.

Once Upon A Time..

Mes dix-sept premières années je les passai dans des foyers comme pupille de l’état, je fus retrouvée sur les marches d’une église, c’est vieux comme le monde ce genre de choses. Mais voila enfant avec un fort caractère, je fus pour certains la bête noire à dresser quoi qu’il en couterait et pour d’autres un simple dossier dans le lot des enfants à faire adopter. C’est donc tout simplement sans affection et sans foyer que je poussai de ville en ville au gré des bons offices des juges de l’enfance des états qui selon les subventions envoyaient les enfants indésirables là où pour eux ces derniers ne feraient pas couler d’encre et surtout ne causeraient pas de problèmes. J’avais tout juste dix huit ans qu’on me donna cinq cent dollars, des cartons et de la monnaie pour un taxi, non je ne me lançais pas à l’aventure, on m’envoyait tout simplement dans un foyer pour jeunes adultes où je devrai trouver une orientation, je trouvai rapidement un job de serveuse me payant quelques études appuyée d’une bourse. La liberté, pas vraiment dans mon pays on est majeur à vingt et un ans, avant cela on doit prouver qu’on est mature. Dans mon tourment je rencontrai un jeune homme dont je terrai le nom, la vie me semblait enfin plus douce, j’en oubliais presque la rigueur qui m’entourait. Sauf que l’on ne fait pas tout et n’importe quoi quand vous avez comme parent un éducateur qui gère aussi bien les criminels que les gosses perdus comme moi. Amour ou non pas question d’émancipation, pas question de grossesse et quand j’appris l’arrivée prochaine d’une future vie. Je vis ma vie sombrer dans l’horreur. Levée au petit matin par un escadron appuyé de deux policiers, je fus mise dans un centre pour mère. Centre que je pensais aboli depuis les années soixante, à cette époque un bébé hors mariage était la pire des hontes, on postait les mères dans ces lieux, leur gavant le crâne de sermons en tout genre sur la vie et sur le comportement malsain qu’on avait. Je tentai à quelques reprises de prendre le large, de retrouver mon brin de liberté. Mais en vain et quand les premier cris de mon fils éclairèrent ma prison, je n’eus même pas l’occasion de le serrer contre moi ou même de pauser mon regard sur son petit minois.

Je trouvai la liberté trois ans plus tard, et ces tout naturellement que je devins intervenante pour le FBI et les marshalls. Ma branche ? Elle est bien loin de l’arbre où je fus déposée une nuit d’hiver. Ma branche est tout proche de ma plus grande souffrance. Je suis ce qu’on appelle garante de caution judiciaire, je suis employée pour œuvrer dans l’ombre et retrouver les gens qui ou ne le veulent pas ou qui n’ont pas eu la chance de choisir. Chaque enquête que je mène me rappelle qu’un jour je fus mise sur une marche en marbre gris d’une église du Maine, chaque personne retrouvée me conforte dans l’idée qu’un jour je trouverai mon fils et pourrai savoir s’il a eut le droit à un meilleur destin que le miens. J’écume les pays, ne restant jamais plus de deux ans dans la même ville. Certains pourraient croire que j’ai le diable aux fesses ou simplement que je suis instable. Mais dans le font je pense que c’est plus la peur de m’attacher et de tout perdre encore. Mais j’étais bien loin de me douter que le soir où alors que je m’apprêtais à fêter mon vingt-huitième anniversaire, une visite des plus étonnantes viendrait tout bouleverser. Ses yeux noisettes, son petit sourire provocateur et son côté déterminé ne laissaient place à aucun doute, d’autant que personne si ce n’est mes bourreaux, n’avaient eu vent que dix ans plus tôt j’avais mis au monde un bambin. J’écoutais, je l’observais en silence, armé de son livre et d’une imagination énorme, je me mis à craindre que comme certains enfants malheureux il se soit crée un monde à lui tout seul, me donnant un rôle et donnant des rôles à tous ceux qui l’avaient vu grandir mais le pire était à venir. Dans ce trouble ce qui m’alarma était le rôle qu’il donnait à celle qui avait prit ma place depuis ses premiers pas. Tout le monde connait ces classiques, ces histoires de contes et légendes, tout le monde sait que la reine de blanche neige est cruelle tout comme celle de Cendrion ou d’autres contes. Mais peu de gens s’imaginent que leur mère adoptive est l’une d’elles prête à tout pour vous nuire. C’est donc inquiète que je pris sur moi de reconduire Henry dans son foyer ou j’aurai quelques questions à mettre à jour.

Storybrooke semblait propice à l’imaginaire de mon fils, des enfilades de maisons tout droit sorties de célèbres parcs de Disney, des enseignes aux couleurs sucrées, des façades acidulées et des bâtiments entretenus avec soin. Pourtant, la vue de mon fils et la froideur de cette femme m’empêchèrent de trouver le sommeil. La seule auberge de la ville avait un petit air d’un autre temps donnant sur une horloge où les aiguilles semblaient ne pas vouloir prendre la mesure des heures de doutes qui m’habitaient. Vous dire que les heures furent longues ? Comment sans repère de temps ? Mais au matin ma décision de fuir ce lieu avait fondu comme neige au soleil, je ne pouvais me décider à délaisser ce fils qu’on m’avait retiré une seconde fois, surtout s’il avait peur dans son propre foyer, j’avais moi-même trop longtemps eu peur des miens.  De fil en aiguille, je devins amie avec Mary Margaret Blanchard, soit Blanche Neige selon les dires d'Henry et par conséquent ma mère... j’avais bien du mal à m’en convaincre d’autant que ma soit disant mère n’avait que quelques années de plus que moi. Mais je du me rendre à l'évidence. Surtout quand Graham commença à manifester quelques soucis et appuyer les dires d’henry, armée de mes doutes mais surtout des sentiments que Graham faisait enfin naitre en moi je tentai de le libérer des mains de Regina. Mais malheureusement j’échouai et la mort me l’enleva. Perdue et aux prises de mes propres démons je repoussai alors toute idée de vie ici et surtout toutes les légende et imaginations d’Henry, tentant de partir je fus mise en face de la réalité de plein fouet quand un accident me bloqua dans la ville. Je pris donc sur moi d’écouter mon fils et de suivre ses idées de plan cobra.

Tant de péripéties avant de voir la Malédiction se lever... Mais les choses ne sont pas prêtes de s'arranger. Les habitants recouvrèrent leur mémoire, Mary M. et Nolan retrouvèrent leur fille perdue mais une porte vers le monde de Neverland s'est ouverte et je me retrouve à présent dans un Neverland bien loin des contes de fée de nos livres d’enfants pour retrouver Henry,que ce Peter Pan à eu le culot de me prendre.

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Derrière l'écran..

Alors je me prénomme Lola,j'ai 22 ans oh oui je suis vieille lol Je connais le forum grâce aux Admins les plus canon au monde ;)
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